Le saviez vous ?
En Syrie et en Phénicie, le solstice donnait lieu à une grande fête en l’honneur de Tammuz, qui commençait la veille au soir, comme dans la Saint-Jean traditionnelle.
En Europe, la fête préchrétienne est une fête pastorale et agricole, mais également une fête de l’union conjugale2. La signification du feu rituel est celle d’un feu terrestre homologue du feu céleste du soleil. La finalité du rituel aurait changé dans les temps pré et proto-historiques : initialement, destiné à soutenir le soleil à son apogée, mais à la veille de son déclin, ses fonctions prophylactiques et fécondantes auraient prévalu par la suite, quand le rituel s’est appliquée à l’agriculture et à l’élevage.
Les feux de la Saint-Jean, repris par les chrétiens avec le nom de Saint-Jean (souvent avec une tolérance du clergé, mais sans qu’un représentant officiel de l’église catholique n’y prenne jamais part, hormis parfois, localement, pour bénir l’arbre de la Saint-Jean à la demande des habitants de la paroisse), auraient été copiés sur les rites datant d’avant la christianisation de bénédiction des moissons, des troupeaux et des habitations.
La Fête nationale du Québec, encore communément appelée la Saint-Jean-Baptiste ou la Saint-Jean, est la fête nationale des Québécois.
C’est la Saint-Jean, passage qui marque le passage à l’heure d’été, jour le plus long de l’année ou solstice.
Sur la plateforme de conférenciers ACME sur marianneurope.fr, hommage à nos conférenciers qui porte ce prénom au singulier ou au pluriel.
Jean Ange Lallican
Jean Nadeau
Jean Yves David Douala
Jean-François Berthoumieu